Les tendances, défis, et effets de la COVID-19 en 2021

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour les pistes ou les sentiers multi-usages (p. ex., pour la marche, le vélo) a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour des designs universellement accessibles a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour la possibilité de cultiver, de cuisiner et de vendre des produits alimentaires dans les parcs (p. ex., jardins communautaires, vergers permettant la cueillette pour la consommation, marchés fermiers, fours publics) a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour les zones où les chiens peuvent courir en liberté a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour les jeux d’aventure (p. ex., terrains de jeu nature, jeux avec des pièces détachées) a augmenté.

des Villes ont indiqué que l'intérêt pour les aires naturelles dans les parcs a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour la mobilisation ou les programmes Autochtones a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour le développement d’infrastructures vertes dans les parcs (p. ex., jardins de pluie, fossés végétalisés) a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour des équipements de conditionnement physique extérieurs a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour des espaces non structurés pour se reposer et ne rien faire (plutôt que de participer à des activités organisées) a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour les espaces extérieurs pour les sports organisés a augmenté.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour des possibilités de bénévolat dans les domaines de l’éducation et de l’intendance (p. ex., plantation d’arbres, arrachage d’espèces envahissantes, etc.) n’a pas changé.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour le développement d’espaces publics appartenant à des entités privées (des espaces accessibles au public grâce à une entente entre la municipalité et le propriétaire privé de l’espace) n’a pas changé.

des Villes ont indiqué que l'intérêt pour les infrastructures numériques (p. ex., le wifi, ou les applications relatives aux parcs) n’a pas changé.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour des groupes d’amis des parcs (comme les Amis du parc X) n’a pas changé.

des Villes ont indiqué que l’intérêt pour les investissements privés dans les parcs (p. ex., la philanthropie, les commandites et les dons d’entreprises) n’a pas changé.

des Villes ont indiqué que les infrastructures vieillissantes et la gestion des biens représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que l'itinérance dans les parcs représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que le budget de fonctionnement insuffisant représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que la protection et l’amélioration de la biodiversité et des environnements naturels représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que de répondre aux répercussions des changements climatiques et des graves intempéries (inondations, incendies, sécheresses) représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que la collecte de données sur l’utilisation des parcs représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que la revitalisation et la reconception des parcs pour répondre à leurs besoins changeants représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que mobiliser certains groupes de citoyens difficiles à joindre représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que l'acquisition et l’élargissement des parcs pour répondre aux besoins liés à la croissance urbaine représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué que répondre aux inégalités systémiques et à la discrimination dans les parcs représentait un défi pour elles.

des Villes ont indiqué constater une plus grande utilisation des parcs durant la pandémie.

des Villes ont indiqué avoir lancé au moins un nouveau programme/projet pilote dans leurs parcs en réponse à la pandémie.

des Villes ont indiqué que la pandémie a engendré une collaboration accrue entre le service des parcs et d’autres services municipaux et décideurs publics.

des Villes ont indiqué avoir renforcé l'application des règlements municipaux afin de dissuader les rassemblements et faire exécuter les règles de distanciation physique et/ou avoir décrété la fermeture des parcs.

des Villes ont indiqué que les budgets de fonctionnement de 2021 dédiés aux parcs urbains ont été affectés négativement par la pandémie.

des Villes ont indiqué que la pandémie les ont incité à mettre davantage l'accent sur la santé publique dans la planification de ses parcs.

des Villes ont indiqué anticiper des effets de la pandémie sur les futures normes de conception ou de pratiques d’aménagement des nouveaux parcs (élargissement des sentiers, répartition différente des places assises, etc.).

des Villes ont indiqué que la pandémie avait mis en lumière des inégalités systémiques dans les parcs (accès aux parcs dans différents quartiers, niveaux d'investissement, etc.).